L'art de corriger
30 juin 2019Dans « Le Devoir », journal québécois, le chroniqueur Louis Cornellier rend hommage aux correctrices, aux correcteurs.
> LirePOUR TOUS LES CORRECTEURS !
Les correcteurs et correctrices se sont organisés en syndicat dès 1881 et ont rejoint la CGT en 1895. Aujourd'hui organisés en section de métier dans le Syndicat général du Livre et de la communication écrite CGT, nous avons pour vocation de fédérer et défendre tous les correcteurs, qu'ils travaillent dans la presse, l'édition ou la publicité, sous le statut de salarié (CDI, CDD, TAD, piges) ou celui d'auto-entrepreneur... Correcteurs, lecteurs-correcteurs, rédacteurs-réviseurs, mais aussi travailleurs de professions connexes (typographes, secrétaires de rédaction), n'hésitez pas à nous rejoindre !
Dans « Le Devoir », journal québécois, le chroniqueur Louis Cornellier rend hommage aux correctrices, aux correcteurs.
> LireMotion de l'assemblée générale des salariés du Groupe Le Monde du 24 juin 2019 au sujet des conditions de travail, d'hygiène et de sécurité qu'augure le nouveau siège du groupe, près de la gare d'Austerlitz.
> LireDepuis six semaines, les salariés en grève de l’imprimerie La Galiote, à Vitry-sur-Seine, sont mobilisés pour la défense de leurs droits et de leur dignité. Ils réclament le maintien de leur sixième semaine de congés payés, l’égalité salariale et le respect de leurs conditions de travail. Ils dénoncent également un management patriarcal à la dure qui règne dans l’entreprise sur tous les travailleurs.
> LireL'actualité sociale à « Livres Hebdo », où la direction voudrait supprimer le service correction du magazine, nous montre combien d'illusions brasse encore ProLexis, ce logiciel de correction dont beaucoup pensent qu'il pourrait aisément remplacer le correcteur professionnel. Le syndicat a produit un document, à destination des directions, qui explique pourquoi il est dangereux de confier ProLexis à des personnes dont la correction n'est pas le métier.
> Lire[Communiqué du syndicat] La décision de ne plus recourir au service de correction-révision à « Livres Hebdo » et de réduire significativement les effectifs du secrétariat de rédaction, à des fins de réduction de « coûts », présente un risque pour la qualité globale du magazine.
> LireVisiblement beaucoup moins soucieuse de la qualité de ses publications, la direction de « Livres Hebdo » souhaiterait se débarrasser du service correction. Pour protester et défendre notre métier, signez la pétition !
> LirePhotos du rassemblement syndical des lecteurs-correcteurs, correcteurs et typographes de Gallimard du jeudi 14 mars 2019.
> LireUne correctrice d'édition, TAD et syndiquée, appelle à la vigilance quant aux recours à l'auto-entrepreneuriat dans l'édition, pour les travaux de correction, mais pas seulement. Derrière cette illusion d'indépendance, un rapport de subordination toujours là et encore plus sauvage, tremplin vers le dumping social.
> LireUne correctrice d'édition revient sur l'expérience délicate, et difficile, que fut la correction de « La mort est mon métier », de Robert Merle, recomposé pour un format poche.
> LireDans la presse, l'édition ou la com, salarié ou auto-entrepreneur, à domicile ou sur site, ne restez pas isolé, syndiquez-vous !
Le formulaire d'adhésion
Les correcteurs syndiqués peuvent déposer leur CV sur le site, régulièrement consulté par des employeurs.
Formulaire